Les bandes urbaines ont perdu leur influence à Bruxelles
« Black » explore l’univers sombre des gangs bruxellois. Des « BU » à la réputation sulfureuse mais qui, dans la réalité, se limitent parfois à une poignée de petits trafiquants.

Elles sont éphémères ou, au contraire, ancrée dans l’histoire des quartiers qui les ont vus naître et dont elles portent parfois le nom, ou juste le code postal : Versailles, Simonis, Yser, Stuyvenberg, 1140, 1080… Les plus violentes font couler le sang là où d’autres limitent leurs emprises au racket et au trafic de stup. Des méthodes de gangsters – rites initiatiques, intimidation, viols, passages à tabac, racket, etc. – et une structure hiérarchisée (leaders, membres actifs, passifs) qui ont valu à la plupart d’entre elles une réputation sulfureuse, que certains acteurs de terrain qualifient toutefois d’exagérée.
Quelle que soit la part de mythe entourant le phénomène, les bandes urbaines sont en tout cas une réalité à Bruxelles et dans la plupart des grandes villes du pays. Une réalité en constante évolution.

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