M. De Wever a la plume (trop) légère
Le président de la N-VA a écrit une lettre ouverte aux partis de centre-droit européens sur la question des migrants. L’édito de Béatrice Delvaux.


Mal conseillé ? Mal informé ? Troublé par l’envie de marquer un but, facile lorsqu’on joue à domicile mais plus incertain à l’extérieur ? On ne parle pas ici d’Anderlecht, mais du président de la N-VA, Bart De Wever, et de la lettre qu’il a envoyée à différents partis européens pour dire son exaspération face à l’afflux de réfugiés et dénoncer l’absence de mesures pertinentes. La lettre a pu impressionner des citoyens fragilisés par la peur du « migrant ». Mais elle a surtout fait lever les yeux au ciel de ceux qui connaissent le dossier. Personne n’a en effet attendu cette missive présentée comme salutaire – enfin quelqu’un qui dit la vérité – pour être alerté, informé ou inspiré.

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