Jean d’Ormesson, la sérénité du sage
L'auteur de «Dieu, sa vie, son oeuvre» remet ça, magistralement, et s'explique
En fait d'errant, de citoyen du monde, Jean d'Ormesson ne manque pas de goût du voyage! Pour l'avoir au téléphone, il faut littéralement le traquer, de son bureau à l'Unesco à son attachée de presse chez Gallimard, du «Figaro» à son secrétariat privé. Jeudi matin, à la première heure, il débarquait à Paris, pour ne pas manquer la réunion de l'Académie française qui se déroulerait l'après-midi et qui, au sujet de la réforme de l'orthographe, promettait d'être houleuse. À la veille de la sortie de son roman, dont il se demande s'il paraît au bon moment, tout en reconnaissant qu'il colle bien à un moment d'histoire qui secoue la planète, il a répondu au débotté à quelques questions sur sa magistrale «Histoire du Juif errant», que nous commentons par ailleurs.
Comment êtes-vous «tombé» sur ce thème, comme vous dites que votre narrateur «tombe» sur Simon Fussgänger à Venise?

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