Les regrets anderlechtois seront éternels
Si Anderlecht n’est pas parvenu à réaliser un exploit en s’imposant par trois buts d’écart à Glasgow, il sort par une porte plus grande qu’espérée en effaçant des tablettes de la C1 son succès au Betis Séville en 2005.

Sept minutes. C’est à sept minutes du coup d’envoi que la magie opère dans la cathédrale de Celtic Park lorsque la sono lance l’hymne du club, « You’ll never walk alone », et que les supporters écossais déploient tous leur écharpe verte et blanche. Le début d’une ambiance indescriptible qui vous donne la chair de poule et les larmes aux yeux tant la communion entre les 60.000 personnes autour du terrain et les joueurs écossais est magique. Un moment où toutes les différences sociales s’effacent pour vivre un moment d’unité derrière les « Bhoys ». Un régal sans doute inégalé en Europe et peut-être dans le monde qui s’intensifie dans les décibels pour atteindre son paroxysme au retentissement de l’hymne de la Ligue des Champions, moment où les supporters envoient toute leur énergie positive à leur équipe. Un « must to see » dans une vie de passionné du ballon rond tant cela vous prend aux tripes.

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