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Johnny et le cinéma: un rêve de gamin

Être acteur était son rêve de môme. Il ne s’était mis à chanter que pour se payer des cours de comédie.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 8 min

Le premier rêve de Johnny était d’être acteur. À 11 ans, il a un petit rôle dans Les diaboliques, de Clouzot. À 12 ans, il voit James Dean en pleine Fureur de vivre et s’identifie jusqu’à trimballer en lui, encore aujourd’hui, ce vieux fantôme ayant pris l’allure d’un Clint Eastwood. À 14 ans, il s’inscrit aux cours de la Rue Blanche à Paris. S’il a commencé à chanter, c’est pour se payer des cours de comédie.

Le ciné, il l’a aussi dans les gênes. Son père, professeur d’art dramatique, avait joué sous un pseudo, dans Monsieur Fantômas, moyen-métrage du belge Ernst Moerman, ami surréaliste du poète Paul Eluard. Johnny et le cinéma, c’est donc une vieille histoire.

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