Accueil Société

L’âme du cuir dans l’histoire du parfum

Avec la rénovation des Fontaines parfumées, LVMH a rendu ses lettres de noblesse à Grasse, capitale mondiale du parfum. Pour Vuitton et Dior, deux maîtres parfumeurs travaillent dans ce lieu d’exception.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

De notre envoyée spéciale à Grasse

A l’origine, il y a le parfum des fleurs, de la terre, des arbres… Depuis la nuit des temps, les hommes cherchent à capter et diffuser ces senteurs agréables, mais aussi, et c’est lié, à chasser par leur entremise les odeurs nauséabondes.

C’est ainsi que Grasse, berceau de la parfumerie moderne, s’est développée. Avant d’être connue comme la capitale mondiale des parfums, la petite ville des Alpes-Maritimes l’était au Moyen Age pour ses tanneries, qui ont pu s’y développer mieux qu’ailleurs grâce à son eau de source pour laver les peaux. Mais les odeurs de fauve avaient le cuir tenace. Pour les masquer, les Grassois ont parsemé leurs collines de fleurs et c’est ainsi que l’histoire du parfum a commencé à s’écrire avant de se perfectionner avec les apothicaires alchimistes du XVIIIe siècle.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Société

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs