Tout le monde défile à Bruxelles sauf les Bruxellois

La chronique d’Alain Berenboom

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Chroniqueur

Publié le 9/12/2017 à 11:00 Temps de lecture: 3 min

On ne remerciera jamais assez les agents des TEC. Voilà des Belges respectueux de la régionalisation du pays et qui prennent bien soin, à chacune de leurs grèves, de n’emmerder que les Wallons. Tous les Wallons. Mais rien que les Wallons.

Ce sont bien les seuls de toute l’Europe, de toute la planète, qui ne descendent jamais à Bruxelles pour crier, casser et pire si affinités. Même leurs bus ne viennent pas polluer nos rues vu qu’ils restent la plus grande partie de l’année sagement rangés au garage.

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7 Commentaires

Posté par Bruyneel Myriam, dimanche 10 décembre 2017, 14:28

J'avais oublié de préciser pour l'auteur de cet article : pas un verre mais une gueuze grenadine......

Posté par Poullet Albert, dimanche 10 décembre 2017, 10:18

Les vrais Bruxellois et les bruxellois d'origine espagnol ne cautionnent pas les indépendantistes d'aucune sortes et certainement pas les catalans, ni les flamingants. la solidarité est au centre du vivre ensemble et Bruxelles se veut une ville d'acceuil et non une ville de rejet et de communautarisme et l'Europe aussi à besoin d'union, elle a besoin de vision, elle à besoin de solidarité, les égoïsmes règionaux sur base de calcul politicien et financier n'est pas dans l'adn des vrais Bruxellois.

Posté par Bruyneel Myriam, dimanche 10 décembre 2017, 9:39

Explication : les bruxellois ont bon caractère. Sinon ils descendraient chaque jour dans la rue, pas de problème pour trouver un bon motif chaque jour, entre les tunnels, le stade qui ne se fera pas, le piétonnier raté, je serai indulgente en m'arrêtant là. Ils préfèrent de loin aller boire un bon verre et admirer la plus belle place du monde....

Posté par albert vynckier, dimanche 10 décembre 2017, 9:30

tout l'art du cuisinier réside dans des plats (qui ne nourrissent pas spécialement) que le client est prêt à payer plus cher parce que pour manger qui est d'assurer un processus vital, on est toujours prêt à payer (c'est payer ou voler)

Posté par Evrard Jean, lundi 11 décembre 2017, 1:16

euh... quel rapport ?

Posté par Bruyneel Myriam, dimanche 10 décembre 2017, 14:28

J'avais oublié de préciser pour l'auteur de cet article : pas un verre mais une gueuze grenadine......
Posté par Poullet Albert, dimanche 10 décembre 2017, 10:18

Les vrais Bruxellois et les bruxellois d'origine espagnol ne cautionnent pas les indépendantistes d'aucune sortes et certainement pas les catalans, ni les flamingants. la solidarité est au centre du vivre ensemble et Bruxelles se veut une ville d'acceuil et non une ville de rejet et de communautarisme et l'Europe aussi à besoin d'union, elle a besoin de vision, elle à besoin de solidarité, les égoïsmes règionaux sur base de calcul politicien et financier n'est pas dans l'adn des vrais Bruxellois.
Posté par Bruyneel Myriam, dimanche 10 décembre 2017, 9:39

Explication : les bruxellois ont bon caractère. Sinon ils descendraient chaque jour dans la rue, pas de problème pour trouver un bon motif chaque jour, entre les tunnels, le stade qui ne se fera pas, le piétonnier raté, je serai indulgente en m'arrêtant là. Ils préfèrent de loin aller boire un bon verre et admirer la plus belle place du monde....
Posté par albert vynckier, dimanche 10 décembre 2017, 9:30

tout l'art du cuisinier réside dans des plats (qui ne nourrissent pas spécialement) que le client est prêt à payer plus cher parce que pour manger qui est d'assurer un processus vital, on est toujours prêt à payer (c'est payer ou voler)
Posté par Evrard Jean, lundi 11 décembre 2017, 1:16

euh... quel rapport ?