«Rouge Jaune Blues»: ce que pensent les Catalans

Opération « Rouge Jaune Blues ». Le Soir et la RTBF se sont plongés pendant une semaine dans la province de Tarragone pour mieux comprendre ce que pensent les Catalans, qui font trembler l’Espagne et l’Europe depuis plusieurs mois.

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Par Véronique Kiesel

Publié le 11/12/2017 à 08:23 Temps de lecture: 1 min

La RTBF et Le Soir s’étant lancés ensemble dans l’aventure «Noir Jaune Blues et après?», ces immersions en commun dans quinze communes de Wallonie et Bruxelles, nous avons décidé de nous délocaliser une semaine en Catalogne. Un « Rouge Jaune Blues » aux couleurs catalanes, pour mieux comprendre, au-delà des discours des hommes politiques, ce que pensent les citoyens de cette région qui fait trembler l’Espagne et l’Europe depuis plusieurs mois.

À quelques jours des élections catalanes du 21 décembre, nous avons choisi la province de Tarragone, une ville de 130.000 habitants située sur la côte, à 100 km au sud de Barcelone. Parce que Tarragone est une ville mixte où coexistent les groupes sociaux et les opinions, et que sa province aussi, entre mer et montagnes, pêcheurs et viticulteurs, est riche d’une belle diversité.

A suivre ce mercredi et jusque samedi dans Le Soir.

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3 Commentaires

Posté par Huart Michel, mercredi 13 décembre 2017, 2:51

Pour ma part, je pense que cette volonté de certains d'obtenir l'indépendance de la Catalogne est une chimère, ils poursuivent soit une idée idéologique dépassée. Alors que nous parlons de notre volonté d'union des régions, des pays, des nations, eux veulent une réduction,de cette idée, pourquoi ? Parce que pour certains c'est la possibilité d'obtenir pour eux-mêmes, une parcelle de pouvoir qu'ils pensent ne jamais obtenir dans un grand ensemble. Mais ce qui est plus évident, la tentative de reprendre son indépendance ne devient évidente pour certains que lorsque leur région devient prospère et plus que les autres composantes du pays concerné, Oubliant comme cela toute solidarité et même celle qui a existé à leur égard à un moment de leur histoire.

Posté par Rosello Fernando, mardi 12 décembre 2017, 19:36

Bonne nuit Pardon pour mon français J'ai 66 ans et j'ai vecu dans part de ma jeunesse avec la dictature de Franco Jamais ai vu aucune represión de parler catalán. C'etait pas a l'ecole mais tu pouvais apprendre catalán de forme prive si tu voulais Apres la mort de Franco, l'an 78 le catalans la constitution par referendum et on ete l'autonomie avec plus de participation 90% et avec plus de % de oui de toute l'espagne. Dans les dernieres decades les enfant on ete enseignes, ça c'est vrai fundamentalment en changan l'hiistoire d'espagne, en dissant para exaimple la guerre civile espagnole 1936-1939 c'etait une lutte entre castillans et catalans. faux complementent. Tout ça dans ces decades ont fini avec çette frustation contre Espagne.. Tout et dirige pour arriver a ce triste situation. Ils veulen l'independance mais on peut parler comme pas de ilegalites. Aucun politique est a prison por ces idees, seulement pour avoir commis des delites. C'est comme toutes les nations.: Si tu est avec la lois, no problem. Si tu commis un delit comme Puigdemont et d'autres politiques, tu est sanctionner. Espagne n'a pas. Les nationalistes per convictions ont besoin des enemis, et sont toujours frustres. Ils son demcraticts seulement si tu penses comme eux Le gouvernement espagnole ecoute, mais seulement si on parle de negotiations legales. J'en suis sure. Bonne nuit Fernando

Posté par Van Steen Willy, mardi 12 décembre 2017, 19:08

Ces gens ne supportent plus leur unité avec Madrid, se sentent frustrés bien souvent pour des motifs futiles ou égoïstes. Qu'ils aillent faire un stage en Palestine, et ils sauront ce que veut vraiment dire "être frustré"!

Posté par Huart Michel, mercredi 13 décembre 2017, 2:51

Pour ma part, je pense que cette volonté de certains d'obtenir l'indépendance de la Catalogne est une chimère, ils poursuivent soit une idée idéologique dépassée. Alors que nous parlons de notre volonté d'union des régions, des pays, des nations, eux veulent une réduction,de cette idée, pourquoi ? Parce que pour certains c'est la possibilité d'obtenir pour eux-mêmes, une parcelle de pouvoir qu'ils pensent ne jamais obtenir dans un grand ensemble. Mais ce qui est plus évident, la tentative de reprendre son indépendance ne devient évidente pour certains que lorsque leur région devient prospère et plus que les autres composantes du pays concerné, Oubliant comme cela toute solidarité et même celle qui a existé à leur égard à un moment de leur histoire.
Posté par Rosello Fernando, mardi 12 décembre 2017, 19:36

Bonne nuit Pardon pour mon français J'ai 66 ans et j'ai vecu dans part de ma jeunesse avec la dictature de Franco Jamais ai vu aucune represión de parler catalán. C'etait pas a l'ecole mais tu pouvais apprendre catalán de forme prive si tu voulais Apres la mort de Franco, l'an 78 le catalans la constitution par referendum et on ete l'autonomie avec plus de participation 90% et avec plus de % de oui de toute l'espagne. Dans les dernieres decades les enfant on ete enseignes, ça c'est vrai fundamentalment en changan l'hiistoire d'espagne, en dissant para exaimple la guerre civile espagnole 1936-1939 c'etait une lutte entre castillans et catalans. faux complementent. Tout ça dans ces decades ont fini avec çette frustation contre Espagne.. Tout et dirige pour arriver a ce triste situation. Ils veulen l'independance mais on peut parler comme pas de ilegalites. Aucun politique est a prison por ces idees, seulement pour avoir commis des delites. C'est comme toutes les nations.: Si tu est avec la lois, no problem. Si tu commis un delit comme Puigdemont et d'autres politiques, tu est sanctionner. Espagne n'a pas. Les nationalistes per convictions ont besoin des enemis, et sont toujours frustres. Ils son demcraticts seulement si tu penses comme eux Le gouvernement espagnole ecoute, mais seulement si on parle de negotiations legales. J'en suis sure. Bonne nuit Fernando
Posté par Van Steen Willy, mardi 12 décembre 2017, 19:08

Ces gens ne supportent plus leur unité avec Madrid, se sentent frustrés bien souvent pour des motifs futiles ou égoïstes. Qu'ils aillent faire un stage en Palestine, et ils sauront ce que veut vraiment dire "être frustré"!