«Je me bats aussi pour Géraldine»
C’est la première fois que Jean-Pascal Labille s’exprime depuis la mort de sa fille. Son décès, en octobre dernier, aurait pu l’inciter à se poser. « C’est une relation à mort qui est particulière car elle est contre nature : perdre un enfant n’est pas dans l’ordre naturel des choses. C’est un vrai vertige, une déflagration. Cela vous donne plus d’humilité aussi par rapport à la vie. Géraldine était très imprégnée de combats sociaux – sa vie, c’était les animaux –, mais aussi de justice sociale. Et donc c’est un élément que j’intègre dans ma réflexion. J’ai vécu au travers d’elle les difficultés que les jeunes peuvent connaître et dont je parle aujourd’hui. Pour le reste, j’aime la formule de Victor Hugo : “ Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout où je suis”
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