Les divisions bien présentes du PS
Dans « Le Soir », Jean-Pascal Labille, secrétaire général des Mutualités socialistes, ne mâche pas ses mots. Pour lui, il faut un nouvel élan pour le PS, sans Di Rupo. La charge est lourde.

La charge est lourde. Elle a le poids de l’organisation mutuelliste : pour marquer le coup, le secrétaire général nous reçoit au siège des Mutualités, à Bruxelles, flanqué de Michel Jadot, président de l’organisation. Bref, Jean-Pascal Labille s’exprime «au nom» de Solidaris, pas en tant que militant socialiste ou à titre personnel. On l’a dit : la charge est lourde.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Ce serait aussi tellement bien si on avait un pays "stabilisé" comme disait Elio.Cela commencerait par un syndicalisme de fédération. Tous ensemble,mais vraiment tous ensemble.Pas la FGTB d'un côté et les autres de l'autre. Un pays où on arrête d'injurier les autres du côté de la frontière linguistique: 30% d'entre eux (tiens ,c'est la proportion du PS en Wallonie et -presque-Bxl mais avant) sont constamment traités de tous les noms par le PS , la FGTB etc...Mais aussi par Défi (Oli le président à vie) ou encore par Ecolo Wallonie ( JM Nollet) ou même par tous ceux qui courent encore derrière Elio (Joëlle par exemple). Ce sont pourtant les mêmes qui nous disent qu'ils veulent une Belgique unie.... oui,mais unie sans les Flamands.Bah, c'est bientôt la fin de la dictature des syndicats ,du prolétariat travailliste toujours scotché à l'ex stalinisme.Voir PTB.