Urgence humanitaire à la frontière colombo-vénézuélienne
Des dizaines de milliers de Vénézuéliens traversent chaque jour la frontière colombo-vénézuélienne pour fuir les pénuries. Certains pour quelques jours, d’autres de plus en plus nombreux pour ne plus revenir.

Adriana a vingt-deux ans. Une jolie frimousse, des yeux brillants. Elle étudiait les sciences de l’éducation à l’université de Carabobo à Valencia (une des principales villes du Venezuela) et ressemble à toutes les étudiantes du monde. Depuis cinq jours, elle dort, dehors, sur un stade de Cúcuta (chef-lieu du département du Nord de Santander au nord est de la Colombie) à côté de la gare routière.

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