Les professeurs de religion mieux protégés
Le Conseil d’Etat établit une nouvelle vision statutaire face aux autorités.


L’évaluation du travail d’un inspecteur de religion échappe-t-elle au contrôle de son employeur (la Communauté française) et, par-delà, des instances administratives de l’État ? La question est au cœur d’une longue affaire traitée par le Conseil d’État et la Cour constitutionnelle. Tout part en 2011 de la situation de l’unique inspecteur d’une religion qui s’est, avec le temps, brouillé avec ses autorités ecclésiastiques. Au point que ces dernières ont purement et simplement demandé à la ministre de l’Enseignement de le révoquer au motif qu’elles n’avaient plus confiance en lui. Devant le refus de la ministre de faire droit à sa demande, le chef de culte a porté l’affaire au Conseil d’État.
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