Le collectif, c’est cool (Raoul)
Plus que jamais, le théâtre s’organise en collectif. Revendication du groupe pour contrer l’individualisme de notre époque ? Besoin de se serrer les coudes face à la crise ? Décryptage.

Il y a des signes qui ne trompent pas. Quand, mardi soir, à la première de Rumeur et petits jours du Raoul Collectif au Théâtre national, on murmure à l’un ou l’autre comédien que l’on réfléchit à un article sur le retour en force du collectif en théâtre, ce n’est pas une poignée de personnalités choisies qui s’assoient à notre table, mais un joyeux groupe cacophonique, avec chacun son mot à dire sur le phénomène.
Bien sûr, le concept de « collectif » n’est pas neuf sur les scènes belges. Du Groupov à Transquinquennal en passant par Utopia, il y a toujours eu des envies très communautaires au théâtre, mais sans doute pas à la cadence effrénée qui a marqué ces dernières années.
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