Les écoles veulent changer le calendrier du CEB: «Nous sommes fatigués de faire le baudet»
Des directeurs bruxellois et brabançons, soutenus par des Wallons, disent leur courroux sur le CEB. Ils dénoncent, non pas l’existence de l’épreuve mais ses modalités d’organisation, qualifiées de contre-productives.


Profond « mécontentement général », « calendrier insensé », « organisation contre-productive sur le plan pédagogique », « refus de continuer à cautionner le système »… C’est un courrier au vitriol que viennent d’envoyer à la ministre Schyns (CDH) – via leurs fédérations - les directeurs et directrices primaires de quelque 200 écoles libres de Bruxelles et du Brabant wallon et d’une cinquantaine d’écoles libres spécialisées réparties sur tout le territoire francophone. Un courrier qu’auraient volontiers signé la plupart des autres directions francophones du réseau si la question des corrections – qu’ils ne partagent pas toujours – en avait été absente. Cible de leur courroux : le célèbre CEB (Certificat d’étude de base) couronnant le cycle primaire.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Les Brabançons, ne sont-ils pas des Wallons ?
L' "excellence " telle qu'elle est comprise par les autorités de la Fédération Wallonie- Bruxelles : 10 jours d' enseignement en moins par année scolaire ( sans compter les 2 ou 3 jours pris allègrement par de nombreuses familles avant ou après les différents congés ) .