Soudan: des jeux politiques pathétiques, mais en aucun cas l’objet de la polémique
Voici la chronique de notre éditorialiste en chef parue ce matin dans « De Standaard ». Le journal flamand donne deux fois par mois la plume et un espace d’expression à notre journaliste.


S’il arrive à la fin de la législature – et on prend les paris que ce sera le cas –, Charles Michel devra payer un verre… aux patrons, notamment flamands. Le Voka est sans conteste le plus solide allié d’un Premier ministre torpillé depuis le début de cette coalition par des partis flamands qui tirent régulièrement des balles dans le dos de leurs partenaires et dans les pieds de leur gouvernement.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir5 Commentaires
Je trouve les commentaires bien sévères à l'égard de Béatrice Delvaux. Chacun comprend ce qu'il veut comprendre en fonction de son propre prisme idéologique. En ce qui concerne le Voka, il faut être naïf de penser, qu'au plus haut niveau de pouvoir, les politiques y arrivent uniquement en fonction de leurs qualités intrinsèques. Ils sont, à un moment donné, le reflet de forces économiques et/ou sociales qui soutiennent le projet politique. L'exemple le plus "terrifiant" est celui de l'arrivée au pouvoir d'A. Hiltler dont le principal soutien vient des industriels allemands tels les Krupp, Siemens, Bosch, Thyssen. Ce sont eux qui ont déterminé la politique économique de Hitler.
Cette chronique est horriblement mal écrite. Citons une phrase parmi d'autres: "Et ce n’est pas parce que l’emploi et la compétitivité vont mieux et qu’il faut d’urgence encore colmater le nucléaire et la mobilité, qu’il serait superfétatoire de se préoccuper de la qualité de notre démocratie et de son respect des principes". Qu'est-ce que cela veut dire? Comme le disait Orwell, la désorganisation de la langue favorise la frivolité de la pensée.
Ouf, Mr Stals, on peut vraiment dire que ce que vous écrivez est vraiment "démocratique". Quel langage châtié! C'est assez "classe Trump",non?
Scindons ce pays, le Nord et le Sud n'ont plus rien en commun. C'est comme si des esquimaux et des Chinois vivraient dans UN pays.
Il est très intéressant d'apprendre que c'est le Voka qui dirige le pays. Mais c'est également très inquiétant, car cela sous entend que notre pays n'a plus rien de démocratique et que les élections ne servent à rien ou presque.