«D’abord définir le contenu du tronc commun, avant sa durée»
Pour Olivier Remels, la question de la durée du tronc commun importe moins que les moyens que l’on se donne pour atteindre les objectifs définis dans le Pacte d’excellence.


L’allongement du tronc commun est-il une bonne chose pour augmenter à la fois la qualité de la formation du plus grand nombre tout en réduisant les inégalités scolaires ?
Tout d’abord, il faut rappeler que ce qui se trouve dans l’avis n°3 du Pacte d’excellence, résulte de discussions de plusieurs années de tous les acteurs autour de la table. Il reflète donc un certain nombre d’équilibres, issus de la base et pas d’une imposition top-down. C’est une première, il faut la saluer. Il subsiste une marge de discussion, mais au sein des grands équilibres trouvés, sous peine de perdre le temps et l’énergie considérables qui y ont été investis. Ceci étant dit, sur la durée du tronc commun, la Fondation pour l’enseignement ne se prononce pas sur sa durée idéale. On considère que c’est l’affaire des pédagogues et des spécialistes.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire