Trump et la dérive des continents
En un an, Trump a montré que la promotion dans le monde de la démocratie et des droits de l’homme ne figurait plus parmi les priorités des Etats-Unis. À côté de cela, l’Europe ne doit rien céder sur ses valeurs.


En un an de pouvoir à la Maison-Blanche, l’autoproclamé « génie très stable » a surtout confirmé qu’il serait le « chien fou » de la diplomatie mondiale. Constant dans l’inconstance, et l’inconsistance – sauf pour jouer à fond la carte facile du populisme nationaliste, isolationniste, unilatéraliste, voire suprémaciste chrétien blanc. Son « America First », qu’il disait.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
ce président paraît si caricatural que les arguments pour le critiquer le sont tout autant.
autant l'appeler "l'homme qui valait trois milliards"