Le café serré de Thomas Gunzig n’a pas fait rire Jan Jambon (vidéo)
Le ministre de l’Intérieur était l’invité de La Première.

Jan Jambon était l’invité de La Première, ce mercredi matin.
Juste avant de répondre aux questions de Thomas Gadisseux, le ministre de l’Intérieur a écouté le café serré de Thomas Gunzig. Une chronique qui ne l’a visiblement pas beaucoup fait rire...
Le café serré est à regarder sur le site de la RTBF.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire
Ne mélangeons pas tout. En presse écrite, "le droit de réponse" est le droit pour une personne nommément citée de faire publier un texte en réponse dans une édition ultérieure. Et le "droit de réplique" est le droit d'une personne envers qui des accusations graves sont lancées, portant atteinte à son honneur, de faire pouvoir y réagir avant publication. Le bref article du Soir mentionne un fait évident à la vision de la vidéo: le texte de Thomas Gunzig n'a pas fait rire le ministre. Il n'en interprète pas la raison.
Je ne crois pas !! Effectivement J.Jambon à une moue sévère mais : est-ce le reflet de sa désapprobation ou plus simplement l'expression non-verbale de sa concentration extrême pour ne pas perdre une miette du "café serré". T. Gunzig, dans ses "cafés serrés", a une plume et une syntaxe très sophistiquées où, même parfois pour un francophone, on voudrait repasser le texte au ralenti pour être sûr d'en saisir tous les sens (deux ou trois à la fois). Je voudrais vous y voir vous, brillant francophone, à réussir pareil exercice, en direct, dans la langue de Vondel ! N'aimer ni la NVA, ni sa politique ne doit vous obscurcir l'esprit au point de ne plus voir que ce votre cerveau vous commande de croire.
Tout à fait d'accord avec vous. Je ne cautionne absolument pas son parti (Et encore moins les dernières élucubrations de son président) mais vous avez fondamentalement raison.
En effet, en bon journaliste, vous auriez dû laisser le droit de réponse.... Qu'en as t'il pensé, devant cet énergumène qui manie fort bien la prose, nous réclamons le droit de réponse... C'est leur et notre droit...