Accueil Belgique Politique

Olivier Maingain au «Soir»: «Défi, c’est le libéralisme social. Le MR est aspiré par la N-VA»

Une Charte comportant 106 « engagements fondamentaux » constituera, sous peu, l’ADN de Défi. Un concept se détache : le « libéralisme social ». Olivier Maingain motive, et s’explique.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Politique Temps de lecture: 6 min

Le parti amarante est sur le point de se doter d’une Charte énonçant 106 « engagements fondamentaux », et revendiquant, officiellement si l’on veut, le concept de « libéralisme social ». Olivier Maingain lancera l’opération lors d’un congrès exceptionnel, dimanche à Schaerbeek. Les adhérents auront à se prononcer dans les prochaines semaines. Le texte définitif sera adopté lors d’un congrès doctrinal au printemps. Les grandes manœuvres avant la maxi-séquence électorale 2018-2019…

Un concept se détache en introduction de votre Charte : le libéralisme social. Cela traduit votre positionnement idéologique et politique en vue des prochaines élections ?

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

2 Commentaires

  • Posté par Poullet Albert, vendredi 2 février 2018, 20:21

    défi est un parti qui ne s'en laisse pas conter , c'est déja ça!

  • Posté par Bricourt Noela, jeudi 25 janvier 2018, 12:00

    Nous sommes 370 habitants au km2 au lieu de 120 habitants au km2 en France, soit 3 fois plus de personnes qui paient des impôts. 45% des Français ne paient pas d'impôts sur leurs revenus considérés comme insuffisants. ,même si les revenus ne sont pas moindres en France. Hors un parti actuellement au pouvoir en Belgique impose des économies drastiques entre autres sur la culture et la justice, ce qui est interpellant pour le moins. Le personnel du pouvoir judiciaire ne peut que se taire vu son absolu devoir de réserve. Il y a en plus lieu de craindre qu'une partie des élus, faute d'informations quant au fonctionnement des tribunaux n'a pas peut être pas pris conscience de la gravité et des conséquences de ces économies .

Aussi en Politique

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs