Frédéric Beigbeder au «Soir»: «Je ne vois absolument pas l’intérêt de la mort»
Dans son dernier livre, Frédéric Beigbeder envisage l’immortalité. De la « science-non-fiction », qui nous interroge sur le sens de la vie.


PARIS
De notre envoyée permanente
Quand il débarque dans un resto super branché de Saint-Germain-des-Prés, il porte un tee-shirt : « I Love Guéthary ». C’est là qu’il vit désormais, sur la côte basque, loin des frasques parisiennes du passé. À 52 ans, le noceur s’est assagi. Apaisé, épanoui. Bientôt père pour la troisième fois (trois filles : il se réjouit de ne pas avoir de « rival »), ça lui donne envie de s’incruster ici-bas. Dans Une vie sans fin (Grasset), il envisage justement sans déconner de faire la nique à la mort.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Et bien, Monsieur Beigbeder doit être le plus grand écrivain vivant actuellement car il a eu les honneurs de toutes les grandes émissions télévisuelles en France et la une du soir.