Les blessures romaines de Stefan Liberski
Son roman, hanté par l’univers de Fellini, plonge dans les bas-fonds de l’aventure conjugale.


Près de quarante ans après avoir vécu à Rome, et y avoir croisé la route du cinéaste qu’il aimait le plus au monde, Stefan Liberski prend la plume et passe ses souvenirs à la moulinette de la littérature. N’y cherchez pas une fresque baroque. La Cité des femmes raconte une tragédie qui doit autant à Kafka qu’à la comédie à l’italienne. Rencontre.

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