Quel remplaçant pour les F-16 belges? Les «pour et contre» des candidats
Les représentants de Lockheed Martin et de BAE Systems n’ont plus qu’une formule à la bouche, identique : « Notre offre est la meilleure pour la Belgique ». Voici les arguments.

Les représentants de Lockheed Martin, pour le F-35, et de BAE Systems, pour le Typhoon Eurofighter, ne ménagent pas leur peine afin de convaincre le gouvernement belge de choisir leur chasseur bombardier pour remplacer les F-16 de l’armée belge. Sans compter le troisième candidat, un peu hors jeu : le français Dassault avec son Rafale.
Les experts ont deux mois pour analyser les offres qu’ils recevront ce mercredi. Un choix est annoncé pour juillet, à la veille d’un important sommet de l’Otan. Mais, selon des experts français, une autre voie est (peut-être) encore possible. Il serait, selon eux, tout à fait loisible au gouvernement de suspendre son appel d’offres. Pour opter pour le Rafale ou pour choisir une voie alternative.
D’ici là, voici les avantages et inconvénients de chacun des candidats.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Un des gros inconvénients du F35 et dont personne ne parle ( article parut sur un site spécialisé américain) , c'est l'obligation de faire appel à la sous-traitance ( Lockheed Martin of course ) pour toute une série d'opération de maintenance, le constructeur se réfugiant derrière la propriété intellectuelle de ses brevets pour ne pas donner les moyens aux utilisateurs de l'appareil d'effectuer des opérations de maintenances/ réparations qui avant étaient faisables en unités. Je n'ose imaginer la facture lorsque Lockheed Martin enverra ces spécialistes effectuer les travaux de maintenances. Encore une forme larvée de privatisation des opérations militaires. Le dindon de la farce sera une fois de plus le citoyen et ce pour le plus grand bénéfice des actionnaires d'une grosse multinationale