JO 2018: Pita Taufatofua, un fondeur au message bien huilé

La salle « PyeongChang » du centre principal de presse des JO d’hiver, la plus grande du bâtiment, est généralement réservée aux grosses délégations et à leurs stars. Ce mercredi, cependant, c’est le seul olympien du Royaume de Tonga, pays du Pacifique qui compte un peu plus de 100.000 habitants, qui y a fait salle comble.
À 34 ans, Pita Taufatofua avait, il est vrai fait une entrée remarquée, vendredi, lors de la cérémonie d’ouverture. Par une température frôlant les -10º, il était entré dans le stade olympique de la même manière qu’il y a deux ans, aux Jeux de Rio, le torse nu et huilé, vêtu du costume traditionnel de son île qui vient d’être frappée par le cyclone Gita « qui a détruit 40 % des habitations de la capitale qui n’étaient pas en dur », en faisant virevolter son drapeau national. Le phénomène valait bien le détour.

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