La Belgique privée de loi contre l’obsolescence programmée
Le MR n’a pas réussi à convaincre ses partenaires de majorité à se rallier à sa proposition de loi contre les produits tombant trop vite en panne. Ecolo fulmine. La ministre Marghem déplore cet échec.


Depuis deux ans, les membres de la commission de l’Economie de la Chambre planchent sur une proposition de loi (nourrie par Ecolo, le PS et le CDH) visant à lutter contre l’obsolescence programmée. C’est-à-dire cette technique que des industriels de l’électroménager et de l’informatique mettraient intentionnellement en place pour réduire la durée de vie de leurs produits. A la demande de Marie-Christine Marghem (MR), ministre du Développement durable, une étude a été menée sur le sujet. Il en ressort que l’obsolescence programmée est très difficilement démontrable mais que des mesures concrètes permettraient de la battre en brèche. On songe à une extension de la garantie légale, à une mention de la durée de vie et d’un indice de réparabilité sur les emballages des produits ou encore à l’obligation pour les marques de disposer de pièces de rechange.

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Au fou !