Karine Lalieux, la fine lame rattrapée sur le fil
Plus habituée de partir à l’assaut, Karine Lalieux est aujourd’hui sur la défensive. A l’origine du scandale du Gial, il y a une décision, prise sous sa présidence. Elle, elle assume.


C e n’est pas dans les valeurs que je défends de payer autant », rappelle la socialiste bruxelloise. Que l’on a connue en meilleure posture. Car quand on remonte le fil du scandale Gial, cette ASBL de la Ville de Bruxelles qui a grassement rémunéré un consultant et un directeur sous statut d’indépendant, on aboutit à un moment à Karine Lalieux. La députée fédérale et échevine bruxelloise était en charge de l’informatique au sein du collège communal de la capitale, entre 2006 et 2012. Et elle présidait l’association aujourd’hui controversée. Depuis, elle a refilé la souris à son collègue, Mohamed Ouriaghli.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
La bonne nouvelle est qu'elle va sans doute avoir moins d'agressivité vis à vis des autres mandataires et partis différents du sien.Un silence de bon aloi.Quand on est intransigeant et donneur de leçons vis à vis des autres, soyez le d'abord vis à vis de vous même.
Au moins; cette dame , possède , un droit de défense....et elle le réalise, au moyen du bon sens (devenu ,en apparence insuffisant).Quant-au nettoyage de la "nécropole" ...les "cadavres" seront depuis longtemps , démunis de "parures" ;car les pillards ont déjà sévi.