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Proximus a le droit d’utiliser… une coquille vide au Luxembourg

Le fisc réclamait 69 millions à une filiale luxembourgeoise de Proximus. La cour d’appel lui a donné tort.

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Chef du service Enquêtes Temps de lecture: 4 min

Clap de fin pour cette bataille fiscale de haut vol. D’un côté, l’État belge, représenté par le ministre des Finances. De l’autre, Proximus, entreprise majoritairement aux mains de… l’État. Ces deux-là sont en conflit depuis dix ans. En cause : la création en 2003 par Proximus (Belgacom à l’époque) d’une société luxembourgeoise baptisée Belgacom Invest.

Cette filiale avait un double rôle : celui de holding, détenant une participation de 75 % de Belgacom Mobile ; et celui d’outil financier au service du groupe.

Jusqu’au jour où le fisc belge s’en est mêlé. Il a vu dans cette affaire un montage de Belgacom pour éluder l’impôt. Et envoyé à la société un sévère redressement : 69 millions à payer pour les exercices d’imposition 2005, 2006 et 2007.

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1 Commentaire

  • Posté par Vigneron Gérard, mardi 6 mars 2018, 17:12

    J' ai difficile à comprendre : L' Etat premier actionnaire de Proximus n' a donc rien à dire ds cette société!!!

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