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L’héritage de Moureaux: Molenbeek ne va pas mieux qu’en 1992

Quand, en 1992, Philippe Moureaux ceint l’écharpe maïorale, Molenbeek est un désastre. Retour sur son récit de carrière.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 12 min

En 1992, quand Philippe Moureaux ceint l’écharpe maïorale, Molenbeek est un désastre. La construction du métro a laissé une cicatrice béante du Canal au chemin de fer ; le commissariat tombe en ruines, la sécurité aussi ; tous les indicateurs socio-économiques sont au rouge dans le Bas de la commune, qui ne se relève pas du déclin industriel ; la paix dans les quartiers, un an après les émeutes, reste précaire. La tâche du ténor socialiste, dépêché par André Cools, s’annonce colossale. Vingt-trois ans plus tard, la place Communale est envahie par les télés de la planète entière qui zooment sur la « base arrière du terrorisme ». L’échec d’un bourgmestre qui a régné en maître pendant vingt ans, et donc du PS bruxellois, trop laxistes ? Leurs adversaires politiques ont aussitôt fait ce procès, la réalité est plus nuancée.

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