Fake news: «Il n’y a pas un seul coupable, un seul modèle responsable»
La Bulgare Mariya Gabriel, commissaire européenne au Numérique, s’est exprimée au sujet de la désinformation en ligne. Les premières pistes pour mieux traquer les « fake news » seront présentée par la Comission le 25 avril.

Il est nécessaire de «redoubler d’efforts» contre la désinformation en ligne pendant les périodes électorales, plaide la commissaire européenne au Numérique, Mariya Gabriel, dans un entretien à l’AFP.
Mme Gabriel, 38 ans, la benjamine de la commission européenne, doit présenter le 25 avril des premières pistes pour mieux traquer les «fake news» au niveau européen.
Un dossier hautement débattu après que l’Allemagne a légiféré l’été dernier pour lutter contre la désinformation sur les réseaux sociaux et que la France s’apprête à présenter «dans quelques semaines» une proposition dans le même sens (notre analyse de ce texte qui a fuité est disponible sur Le Soir+).

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
A l’expression «fake news», Mme Gabriel préfère d’ailleurs le terme de «désinformation en ligne «Car nous connaissons aujourd’hui les effets pervers de l’utilisation de l’expression « fake news » qui pourrait servir à des politiques pour décrédibiliser leurs adversaires et nuire à la liberté d’expression», reconnaît-elle. ???? Une petite explication est-elle possible ?