Pape François : un pontificat terni par la crise de la pédophilie
Le 13 mars 2013, Jorge Bergoglio était élu Pape. Cinq ans plus tard, l’état de grâce est passé. La crise de la pédophilie écorne la popularité du Souverain Pontife.


Son élection a profondément changé l’image de l’Eglise. Pape superstar dans les premières années de son pontificat, François a rapidement séduit à travers le monde par sa simplicité et son attitude « anti bling bling », son apparente ouverture sur des questions comme l’homosexualité, sa volonté farouche de faire le ménage au sein de la Curie romaine, et son franc-parler. Que reste-t-il de cet état de grâce des débuts ? Force est de constater qu’après cinq années au Vatican, l’évêque de Rome déçoit.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Il n'échappe pas au problème majeur de l'église catholique, l'étouffement de la pédophilie qui sévissait à plus grande échelle encore aux temps glorieux de la puissance ecclésiale d'ailleurs avec l'aveuglement des proches refusant d'admettre qu'un prêtre puisse commettre des attouchements ou pis encore. Maintenant que la parole se libère, il se retranche tant bien que mal derrière des contorsions jésuitiques comme si une politique de retardement suffirait à balayer les faits.