Vivre après les attentats
Avec « Bruxelles, printemps noir » Jean-Marie Piemme a écrit une pièce chorale, mosaïque de cicatrices sur notre vivre-ensemble. Aux Martyrs

La vie réserve d’incroyables télescopages. En 2007, choqué par les attentats de Madrid et de Londres, Jean-Marie Piemme imagine une pièce autour d’un attentat à Bruxelles, et une bombe qui explose à la Porte de Namur. Le texte s’appelait alors Métro 4 et l’auteur belge était loin de s’imaginer que la réalité rattraperait tragiquement la fiction en mars 2016. Quand les terroristes frappent l’aéroport de Zaventem et le métro de Bruxelles, Philippe Sireuil est justement en train de travailler le texte de son ami Piemme avec des élèves en art dramatique. Frappé par cette triste prémonition, le metteur en scène décide de ne pas lâcher la pièce et demande à l’auteur d’en réécrire une nouvelle version, en prise avec les déflagrations réelles de ces attentats sur la ville.

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