Joëlle Milquet, l’inépuisable et l’épuisante
Portrait d'une ministre de l'Education, volontaire jusqu'à l'impatience.


Elle aurait dû s’appeler Joëlle… Milguez. Seulement voilà : quand son arrière-grand-père se présente à l’état civil à Charleroi, le fonctionnaire cochonne le travail et gratte au registre un « Milquet » purgé du sang espagnol qui battait dans les veines du patronyme originel.
Si l’on se réfère aux clichés circulant ordinairement sur les Hispaniques, voilà qui pourrait expliquer ce tempérament tumultueux et cet œil noir qui fend vite, et en deux, le contradicteur (une espèce qu’elle aime peu).
Joëlle Milquet est née le 17 février 1961 à Charleroi, d’un père enseignant (qu’elle perd quand elle a six ans) et d’une maman d’origine française – et enseignante itou. Le père enseigne le français à l’athénée de Charleroi. La mère fait de même mais à l’école Saint-André. Le cocon familial était donc coloré laïque-catholique, souligne volontiers la progéniture, toujours désireuse de faire valoir son pluralisme.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Pour moi, c'est une Machine à créer des commissions, des avant-projets, des projets, des décrets, des cours de rien (faut le faire), pour occuper le devant de la scène (de moins en moins, ouf de l'air!) etc...bref des usines à gaz qui nous coûtent très cher et révèlent un manque de réflexion à long terme...toujours une rustine à la main et des marteaux pour enfoncer les clous...sortie par la porte elle rentre par les fenêtres...personnage épuisant et brouillon parait-il
Par contre vous ne semblez pas manquer de pragmatisme monsieur weissenberg et vous seriez MR que cela ne m'étonnerait pas
Et on oublie le principal: un manque total de pragmatisme ...