Le profil contrasté de la «filière belge»: des potes devenus terroristes
Dix jours après les attentats de Paris, le visage des « Belges » de Daesh s’éclaircit. Entre professionnels imprudents et jeunes inconscients : il y avait « un peu de tout » pour les conduire au pire.


Les « Belges » de la filière terroriste qui a mis à exécution les attentats meurtriers de Paris il y a dix jours, forment un agrégat d’amateurs, de supposés professionnels et de ralliés récents à la cause djihadiste. Le décryptage du comportement et de la hiérarchie du groupe qu’il formait doit aider à comprendre la dynamique de sa formation et mesurer si elle s’est appliquée à d’autres équipes en formation ou déjà prêtes à passer à l’action, comme les autorités belges le redoutent
Le « cerveau » ?
Abdelhamid Abaaoud, 28 ans, apparaît, sous son nom de guerre Omar Al-Belgiki, comme le « capitaine » du groupe parisien.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire