À Liège, «une salle de shoot pour notre tranquillité et celle des habitants»
Le projet de Willy Demeyer passe pour un moindre mal auprès de ses futurs utilisateurs comme des riverains

Située à une trentaine kilomètres de Maastricht, Liège est confrontée à la toxicomanie quotidiennement. Dans les rues, dans les parkings et autres espaces publics. Seringues, aiguilles, garrots… jonchent le sol de quartiers bien connus tels que Saint-Léonard, Saint-Gilles et Sainte-Marguerite. Les junkies sont de plus en plus visibles dans le centre-ville, sur la place de la Cathédrale et sur la place Saint-Lambert, au cœur même de Liège, dans les endroits les plus fréquentés par les locaux et visités par les touristes.
En janvier dernier, des photographies de toxicomanes se piquant dans une banque ING, située en face de l’Opéra Royal de Wallonie, avaient choqué les Liégeois. Ces images devenaient trop fréquentes à leur goût. Le conseiller communal Benoît Drèze (MR), qui avait publié ces clichés sur les réseaux sociaux, avait précisé qu’il s’agissait du « reflet de ce qu’on voit tous les jours ».

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