Ce jeudi se joue un nouvel épisode d’un feuilleton qui a débuté lorsque Delphine Boël a introduit auprès du tribunal de première instance de Bruxelles une double action : en contestation de paternité envers Jacques Boël et en recherche de paternité à l’égard d’Albert II, qu’elle considère comme son père biologique. Une audience de la cour d’appel de Bruxelles sera consacrée à la demande des avocats de la plaignante de soumettre Albert II et Jacques Boël à un test ADN.
Delphine Boël a souhaité rétablir certaines vérités et réexpliquer les motivations profondes qui la poussent à mener cette quête d’un père. L’un de ses avocats, Marc Uyttendaele, a reçu Le Soir pour porter cette parole. Il explique également les raisons de l’action intentée cette semaine. On se souvient que l’an dernier, le tribunal de première instance de Bruxelles a jugé l’action de Delphine Boël en désaveu de paternité recevable mais non fondée. La justice considérait qu’il y avait eu un lien filial entre père légal et fille, qui se sont comportés comme tels et prétendus tels durant de nombreuses années. Un verdict auquel Delphine Boël a fait appel.
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