Touche pas à notre vivre-ensemble
La précarité dans les milieux issus de l’immigration n’est pas une fatalité. Les jeunes doivent reprendre leur destin en main, la famille doit se remettre au centre de l’éducation et une école de qualité doit reprendre ses droits en tant que pilier de la société.

Aujourd’hui, une partie de la population belge, celle d’origine marocaine, entre autres, est stigmatisée de par le monde. Elle aurait engendré des terroristes et Molenbeek a reçu le triste statut de berceau du djihadisme.
Pourtant, de très nombreux jeunes issus de l’immigration, deuxième ou troisième génération ont démontré leur réussite sociale, économique et vivent en parfaite harmonie avec la population autochtone dans notre pays devenu le leur. Ils ont une expertise dans les métiers de la technique, dans l’enseignement, ils sont professeurs d’université, ils sont médecins, magistrats, ingénieurs, parlementaires, ministres…

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