Merckx: «Le cyclisme belge doit former des grimpeurs»
A l’approche de la saison 2016, le Bruxellois jette un regard critique et objectif sur son sport de prédilection. Il engage par exemple la fédération à intensifier ses efforts en termes de formation. Il regrette que les Belges soient encore trop obnubilés par les classiques.


Entre Monaco, Meise et des obligations de plus en plus fréquentes vers le Qatar où la reprise de la saison cycliste approche (déjà) à grands pas, Eddy Merckx a peu de minutes à lui. Il ne s’en plaint guère, en vérité, par peur de l’ennui. « C’est vrai que je n’aime pas m’ennuyer. M’asseoir dans un fauteuil ne me correspond guère, sauf pour regarder du sport à la télévision. Quand je n’ai absolument rien à faire, aucun rendez-vous, je me réfugie dans mon atelier où quantité de réparations techniques m’attendent sur les vélos, les miens et ceux de mes camarades. Ainsi, je garde la main ! Car, mine de rien, je roule encore 6 à 7.000 bornes par an. » Opéré début décembre d’une bursite à la hanche, énième conséquence de sa chute en janvier 2014, le « Cannibale » devra toutefois observer une vraie coupure, sans vélo ni activité pendant quelques semaines. « En revanche, côté cœur (rires), je suis complètement apaisé, tout fonctionne comme sur des roulettes !

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