Le tract électoral reste une arme de séduction massive
La N-VA a envoyé plus de 500.000 tracts à travers Bruxelles. Défi a inondé les boîtes aux lettres namuroises pour démontrer ses ambitions en Wallonie. À l’heure de Facebook et Twitter, le prospectus électoral reste une valeur sûre sur laquelle misent tous les partis. Chacun avec ses spécificités.

Aucun Bruxellois n’a pu y échapper. La N-VA est rentrée chez tous les habitants de la capitale par la boîte aux lettres. Ces quinze derniers jours, la poste a distribué 586.000 folders flanqués de la tête des deux nationalistes préférés des francophones : Jan Jambon et Theo Francken. Le but ? Annoncer que le parti de Bart De Wever est dans la course pour les communales d’octobre prochain à Bruxelles. La N-VA présentera une liste dans onze des dix-neuf communes. D’autres viendront peut-être s’ajouter avant la fin de la campagne.
Coût de l’opération ? La N-VA ne souhaite pas le communiquer. Un petit tour sur le site de bpost permet d’estimer le montant minimum : environ 50.000 euros. Même pour un parti « riche », l’investissement est impressionnant. Il interpelle aussi.

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Il manque les runes sur la photo !