2014, la Coupe du monde au Brésil
Dans le cadre enchanteur des environs de Salvador de Bahia, Marc Wilmots vit un premier séjour brésilien plutôt cool : son équipe (cinquième mondiale) effectue son retour en Coupe du Monde, après douze ans d’absence.

Edito publié dans Le Soir le 7 juillet 2014
Les Diables rouges rentrent en Belgique, éliminés du Mondial par un but, un petit but, un but d’instinct inscrit par un attaquant jusque-là resté muet. Contre l’Argentine, samedi, les Belges ont pris une leçon d’efficacité, presque de cynisme (c’est souvent la même chose en football) et ont mesuré l’écart qui existe entre un quart de finale et une demi-finale. Un écart minime, direz-vous, un petit détail, une faute d’attention, un brin de chance. Détrompez-vous. Dans le sport de haut niveau, la différence entre une bonne équipe et une grande équipe peut paraître ténue, mais elle est en fait abyssale. L’Argentine n’est pas flamboyante, même pas dominante, mais sans impressionner, elle a géré la rencontre comme il le fallait. C’est le fruit de l’expérience, individuelle et collective. C’est ce qu’on appelle le métier, tout simplement.
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