Uber: des chauffeurs veulent dénoncer la «collusion» entre patrons et politiques
Une partie des chauffeurs bruxellois ne se sent pas représentée par la Fédération des taxis (Febet). Plutôt en faveur du plan mis sur la table par Pascal Smet, Barbara Van Eeckhout et Michaël Zylberberg dénoncent les « fake news » qui circulent dans le secteur.


Se méfier de l’eau qui dort. Du secteur des taxis quand sa transformation semble au point mort aussi. On les a beaucoup entendus au printemps. Fâchés par le plan du ministre de la mobilité Pascal Smet (SP.A), adopté en première lecture par le gouvernement, ils ont bloqué Bruxelles toute une journée. Rassurés par le ministre-président Rudi Vervoort (PS), ils se sont calmés, en attendant que le gouvernement prenne une position finale. De ce côté-là, cela n’a pas vraiment bougé (lire ci-contre).
« Ils », ce sont généralement les patrons, les propriétaires d’écurie qui représentent plusieurs centaines de chauffeurs. Ceux-là ont été très clairs. Ils ne veulent ni d’Uber, ni du plan taxi, ni même du ministre Smet dont ils réclamaient la démission.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Je ne sais pas exactement ce qui se négocie ici, cela semble très très compliqué!!!. Mais ce dont je suis certain c'est que les taxis bruxellois sont scandaleusement chers, en fait parmi les plus chers au monde (et peut être même les plus chers lorsqu'ils empruntent une portion de ring). Est-ce que quelqu'un défend les usagers?