Comment Gianni Infantino... n’a pas changé la Fifa
À cinq jours de sa première Coupe du Monde et à trois de la désignation du pays hôte de l’édition de 2026, l’ex-bras droit de Michel Platini a déjà la tête à juin 2019 et à sa survie.

L’Italo-Suisse s’est installé en février 2016 dans le fauteuil présidentiel de la FIFA, alors en pleine tourmente. Sepp Blatter, en poste depuis 1998, avait été contraint à la démission quelques mois plus tôt à la suite d’un vaste scandale de corruption. Le nouveau numéro 1 de la Fédération a vite découvert que son prédécesseur n’avait pas que laissé une mauvaise image presque invendable de l’institution : il lui a légué aussi un système, véritable nœud avec lequel Infantino risque de s’étrangler s’il tente de le démêler.

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