Londres: entre perte d’identité et résistance
Deuxième étape de notre périple anglais. Qui suit le football anglais ne peut passer à côté de Londres. Les noms de Gunners, Blues, Spurs, Hammers n’ont plus de secret. Mais entre développement et identité, les clubs londoniens ne font pas toujours les bons choix.

Ils disparaissent au fur et à mesure. Les vieilles enceintes anglaises, au charme désuet, qui résonnaient des chants vibrants entonnés en l’honneur des héros locaux, sont remplacées par des stades fonctionnels ultra-modernes. Highbury, le vieux Stamford Bridge, White Hart Lane, Boleyn Ground, appartiennent déjà au passé. Il y a encore des poches de résistance (Craven Cottage, Selhurst Park, Loftus Road, the Den) mais elles se font rares. Plus qu’ailleurs, Londres témoigne de l’envergure prise par la Premier League, dont les millions déversés servent, notamment, à ériger de nouvelles cathédrales.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire