Service garanti à la SNCB: tout le monde a gagné...

Bilan positif de toutes parts après le premier « service minimum ». 66 % des fonctions essentielles de la SNCB s’étaient engagés à faire rouler un train sur trois.

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Les syndicats regrettent que l’organisation du ervice minimum a éclipsé leurs revendications.

Journaliste au service Economie

Par Eric Renette

Publié le 29/06/2018 à 19:08 Temps de lecture: 4 min

A en croire les différents protagonistes, hormis quelques cas malheureux, notamment pour ceux pour qui se sont ajoutées les conséquences d’un vol de câbles sur la ligne 161, le premier test de service minimum à la SNCB s’est bien déroulé. Sur Twitter, le ministre fédéral de la Mobilité François Bellot (MR) s’est félicité : « Pour la première fois en Belgique, le service garanti est d’application à la SNCB en ce jour de grève. Les navetteurs globalement satisfaits dans les différents JT. »

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2 Commentaires

Posté par Jean-Paul BOUILLON, vendredi 29 juin 2018, 19:38

"66 % des fonctions essentielles de la SNCB s’étaient engagés à faire rouler un train sur trois." Mathématiquement parlant, avec 100% des fonctions essentielles, on pourrait donc espérer 1,5 train sur trois. Bizarre, n'est-il pas ?

Posté par Karl NOBEN, samedi 30 juin 2018, 0:12

Bizarre, pas vraiment, un système fortement interdépendant comme celui du chemin de fer, qui plus est avec de moins en moins de marge de reserve en heure de pointe, a besoin de toutes ses composantes pour fonctionner. C'est comme quand les contrôleurs aériens font grève, plus rien n'atterris ou décolle même si tous les services de l'aéroport et des compagnies aériennes sont à leurs postes...

Posté par Jean-Paul BOUILLON, vendredi 29 juin 2018, 19:38

"66 % des fonctions essentielles de la SNCB s’étaient engagés à faire rouler un train sur trois." Mathématiquement parlant, avec 100% des fonctions essentielles, on pourrait donc espérer 1,5 train sur trois. Bizarre, n'est-il pas ?
Posté par Karl NOBEN, samedi 30 juin 2018, 0:12

Bizarre, pas vraiment, un système fortement interdépendant comme celui du chemin de fer, qui plus est avec de moins en moins de marge de reserve en heure de pointe, a besoin de toutes ses composantes pour fonctionner. C'est comme quand les contrôleurs aériens font grève, plus rien n'atterris ou décolle même si tous les services de l'aéroport et des compagnies aériennes sont à leurs postes...