Tour de France: Chris Froome, ce mal aimé, comme d’autres champions
Le Kényan blanc court derrière un cinquième succès sur cette 105e Grande Boucle et compte bien se nourrir de l’hostilité du public pour écrire un peu plus sa propre histoire.


Cet homme, que des Chouans écoeurés, un peu barbares, ont copieusement sifflé jeudi soir entre bocages et marais n’a que faire de l’irritation séculaire du bon peuple français. Car, finalement, au-delà du flegme, Froome entretient aussi, mais avec un sens aigu de la diplomatie, le mépris historique de l’Anglais à l’égard d’une culture concupiscente, rabelaisienne, impropre à la sagesse d’un buveur de thé. Mais avant de formuler son « Froomexit », que bien des détracteurs ont pourtant tenté de déclencher depuis le mois de décembre 2017, Christopher s’est imposé une mission : remporter un cinquième Tour et donc intégrer le carré magique composé de Jacques Anquetil, d’Eddy Merckx, de Bernard Hinault et de Miguel Indurain.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire