«Un débat largement prématuré»
Premier concerné, l’aéroport de Charleroi tient à ralentir le débat : « Si des rapatriements forcés devaient avoir lieu, ce qui n’est pas le cas actuellement, cela nécessiterait de nombreux investissements. On n’en est encore très loin », explique Vincent Grassa, porte-parole de l’aéroport. L’augmentation du nombre de policiers, « pour garantir la sécurité du personnel, des voyageurs et des personnes expulsées » et des changements d’infrastructure, pour permettre notamment « la création d’un espace d’accueil » sont à prévoir. « Il faudra que nous soyons bien préparés. Dans la situation actuelle, il est hors de question de rapatrier qui que ce soit de manière forcée », conclut le porte-parole.

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