En Colombie, la violence reprend ses droits
Depuis la signature de l’accord de paix en 2016, près de 200 « leaders sociaux », défenseurs des droits de l’homme ou élus locaux, ont été assassinés.

Les temps obscurs de la violence en Colombie sont-ils en train de reprendre ? Depuis la signature, le 24 novembre 2016, de l’accord de paix entre le gouvernement et les ex-Farc (la guérilla devenue depuis le parti de la Force alternative révolutionnaire du commun), près de deux cents « leaders sociaux », comme on les appelle en Colombie, ont été assassinés, soit parce qu’ils militaient pour défendre les droits de l’homme, l’environnement, le droit des communautés à récupérer et protéger leurs terres, soit parce qu’ils avaient une responsabilité locale, voire simplement pour leur appartenance politique.

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