De Bruxelles à Kazan: comment Roberto Martinez a évolué sur le plan tactique
Rapidement aiguillé vers le 3-4-2-1 pour tirer le meilleur de son noyau, Roberto Martinez n’a pris que quelques mois pour peaufiner son système de jeu et faire de la Belgique une machine à marquer. Mais, alors qu’on le pensait inflexible sur certains principes comme la défense à trois, il a déjoué tous les pronostics en mettant en place un plan contre le Brésil. Un coup de génie.

Un lapin de son chapeau. Vendredi soir, à Kazan, Roberto Martinez a surpris tout son monde en mettant en place un 4-3-3 destiné à infléchir au maximum le pouvoir de nuisance offensif brésilien. Un coup de maître du Catalan – il a été mis sur pied entre les matchs contre le Japon lundi et le Brésil quatre jours plus tard à en croire Eden Hazard – qui n’a jamais cessé de parler de « flexibilité » durant ses vingt-deux premiers mois à la tête de la sélection belge. Un règne où Roberto Martinez n’aura pas mis beaucoup de temps à trouver son système fétiche – le 3-4-2-1 – jusqu’à persuader tout le monde qu’il mourrait avec ses idées même face aux cadors lors de matchs couperets de la Coupe du monde. Le Brésil-Belgique de vendredi soir a prouvé le contraire.

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