Barbara Abel, l’écrivaine du paroxysme
L’auteure publie « L’innocence des bourreaux ». Comme d’habitude, elle n’épargne personne.


C’est grâce au théâtre que Barbara Abel est arrivée à l’écriture. Elle voulait être comédienne. Après sa philologie romane à l’ULB, elle s’en va suivre des cours à Paris. Beaucoup de travail, de fêtes, de rencontres. Dont celle de Gérard Goffaux, dessinateur de BD plutôt noires. Le couple rentre à Bruxelles, écrit à deux L’esquimau qui jardinait, monté à la Samaritaine. « J’ai pris plaisir à écrire ce texte, dit Barbara Abel. Alors j’ai tenté à la fois d’être actrice et écrivaine. Et j’ai trouvé un éditeur avant un metteur en scène. »

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire