Sélection en médecine: mieux vaut être fort en math
Une enquête menée par une étudiante de Solvay met au jour des facteurs de réussite de l’examen d’entrée en médecine. Bien plus que les sciences, c’est l’option math forte qui dope les chances.


Examen d’entrée en médecine, an deux… Il n’a pas encore 12 mois mais fait déjà partie des épreuves mythiques du paysage de l’enseignement supérieur. Parce qu’il génère beaucoup d’appelés mais aussi énormément de déçus. Parce qu’il charrie son lot de polémiques. Parce qu’il fait le jeu du pouvoir fédéral dans une matière entièrement communautarisée depuis trois décennies…

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir11 Commentaires
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Posté par Jaspers Marie, jeudi 12 juillet 2018, 19:53
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Posté par Jaspers Marie, mercredi 11 juillet 2018, 20:07
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Posté par Jaspers Marie, mercredi 11 juillet 2018, 19:42
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Posté par Jaspers Marie, mercredi 11 juillet 2018, 18:12
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Posté par Jaspers Marie, mercredi 11 juillet 2018, 17:55
Plus de commentairesExcellent article qui contre les articles délétères qui ont été publiés en septembre 2017 après la publication de résultats de l'examen de médecine.
Le manque de travail régulier est la cause principale des échecs dans le secondaire comme dans le supérieur.Les pédagogues et les politiques ne veulent pas le prendre en considération.C'est le devoir des élèves et étudiants que de tout faire pour réussir et non celui des profs de les faire réussir! Qui, d'ailleurs, pourrait amener à la réussite des enfants qui ne font rien? Peut-être les pédagogues et par suite politiques avec des programmes et des exigences nulles comme aux CEB et CE1D!
De tout temps, les meilleurs élèves ont été et restent ceux qui faisaient "latin-grec ou latin-maths" et qui actuellement choisissent les options "math forte" ou " latin grec", n'en déplaise aux pédagogues, aux égalitaristes et aux acteurs du pacte.Ils n'ont pas compris que c'était la seule mesure capable de redonner une impulsion à l'ascenseur social.
Le professeur Catherine Dehon conclut l'article par cette réflexion : "l'impact du redoublement dans le secondaire me préoccupe davantage : ceux qui ont pris du retard dans leur parcours scolaire ont des chances de réussite bien moindre".Personnellement, je considère cela comme allant de soi et non comme inquiétant, sauf exception près, comme dans tout et pour tout.En effet ceux qui ont pris du retard dans le secondaire sont de manière générale des élèves qui n'ont pas travaillé et qui ne maîtrisent pas les matières du secondaire.Comment seraient-ils, tout à coup, courageux au point d'étudier des volumes de matières dix fois plus profondes et au minimum dix fois plus volumineuses? Cela arrive mais de manière exceptionnelle! Il y a des exceptions partout.
Le constat apporté par cette étude avait déjà été fait par les professeurs de médecine de l'ULiège au cours d'une étude statistique des résultats.Eux aussi, avaient observé que les meilleurs étudiants étaient ceux qui avaient choisi math forte dans le secondaire et non sciences fortes