Écoles en difficulté: faut-il brider leur liberté?
Les écoles défavorisées reçoivent des subsides additionnels. Ils doivent les aider à lutter contre l’échec et le décrochage. L’argent sert parfois à embellir les locaux ou acheter une caméra de surveillance. Est-ce réellement insensé ?


Un débat chasse l’autre. Les fuites ont éclipsé la question du destin du cours de morale. Qui a elle-même renvoyé à l’ombre un autre petit dossier empoisonné – et qui se remettra à bouillir un de ces quatre matins : on veut parler du sort des subsides additionnels que la Communauté française accorde aux écoles défavorisées, en vertu du système de « l’encadrement différencié » (ex-discriminations positives). Pour rappel, les écoles visées reçoivent deux types d’aides. Elles bénéficient d’un encadrement renforcé et reçoivent, en plus, des subsides additionnels. Le budget dédié à ces subsides additionnels équivaut à 14 millions (8,1 pour le fondamental, 5,8 pour le secondaire).

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