De Tiepolo à Richter, l’Europe en dialogue La richesse des fondations
Si l’Europe d’aujourd’hui ne fait pas grand cas de la culture, elle regroupe néanmoins les Fondations qui, dans chaque pays, conservent ce que le patrimoine national a de plus précieux.

Il n’y a pas d’autre fil rouge à cette exposition, forcément éclectique, que la propension de chaque artiste et de ses œuvres à circuler hors frontières, à s’imprégner des idées nouvelles et des modes. Et celle des collectionneurs, personnages de prestige d’abord puis simples bourgeois, à les acquérir selon des réseaux aussi rapides qu’efficaces. Si bien que, oui, à force d’échanges, d’influences, de diffusion notamment par les gravures, les copies, les dessins, et grâce au fait que les artistes travaillaient souvent loin de chez eux, on peut parler d’une Europe de l’art bien avant l’Europe.

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